Je suis croyante et pratiquante. Mon mari est tiède dans la foi, à la limite de l'agnosticisme. Il conteste tout. Même un séjour en Terre Sainte ne l'a pas changé, alors que je l’espérais. J'en souffre, car il y a des choses que je ne peux pas partager avec lui : aller à l’église, aller en pèlerinage.... Peut-être est-ce trop personnel pour lui de parler de sa foi et de ses doutes...Il s’énerve des que je commence la discussion. Notre fils de 16 ans aussi est en train de perdre la foi. Que faire pour limiter les dégâts ?
Nous nous sommes choisis, mais nous savons bien que nous ne sommes pas les plus forts.
Toi seul peux soutenir notre volonté et rendre plus large notre consentement. Laisse notre vie courir son rêve avec l’élan renouvelé des commencements.
Que la joie, toujours, déborde sur l’habitude.
Nous T’offrons notre ardeur, enseigne-nous la constance…
Ne laisse pas faner notre tendresse mais rends-la sure et belle comme l’ascension du jour et paisible comme la venue du soir.
Augmente notre intimité, tisse-la de mystère et de confidence, mais fais que nous aimions assez notre amour pour l’offrir à la Terre.
Les textes des papes, évêques, conférences ou conseils pour la famille et autres, présentés sur la page de la conférence des évêques de France sur la famille et le couple.
C'est à partir de cette problématique que je vais traiter le sujet annoncé : « La Mission du couple dans l'Eglise ».
Avant d'aborder la question qui nous intéresse, je voudrais prendre en compte une difficulté que l'on sent dans une opinion catholique un peu large quand on parle d'un « couple chrétien », d'une « famille chrétienne », ou de « familles catholiques ». S'exprime parfois comme un malaise ou comme une distance vis-à-vis de ces expressions.
Il m'a semblé utile de proposer aux chrétiens de Paris quelques réflexions sur la situation de la famille et de la jeunesse pour les aider à aborder cette étape en renouvelant leur regard et leur approche. La famille est aujourd'hui un lieu de grande épreuve.
Je vous dis que si deux se mettent d’accord ici, sur terre, pour demander quoique ce soit, cela leur sera accordé par mon Père qui est dans les cieux. Car dès que deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là au milieu d’eux. Cette parole s’adresse à tous mais particulièrement à ceux qui sont mariés puisque la réalité du sacrement de mariage est bien d’être deux accordés dans l’amour et réunis en Son Nom.
Il n’est pas difficile de constater que chaque jeune sent en lui une aspiration au bonheur, parfois mélangée à un sentiment de préoccupation ; aspiration qu’exploite souvent cependant, de façon fausse et aliénante, la société de consommation actuelle. Il faut au contraire tenir sérieusement compte de ce désir ardent du bonheur qui exige une réponse vraie et exhaustive.
Quand l’un des époux vient à mourir, le lien juridique et sacramentel qui les unissait disparait. Est-ce à dire que leur amour s’éteint ? Absolument pas. Il est même appelé à grandir. Plus vivant que jamais ! Le conjoint qui reste sait en effet que celui qui est parti demeure présent dans son cœur.