• « Je dois me marier dans un mois, mais j’hésite de plus en plus. Je voudrais tout arrêter, mais tout est préparé », s’inquiète une jeune femme de 29 ans…

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  • Le guide le plus actuellement utilisé, (plus de 60000 ex. déjà vendus) par les couples qui se préparent au mariage !
    Pour tout savoir clairement et simplement sur la préparation et le déroulement de la célébration afin de profiter pleinement de vos fiançailles.

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  • Le pèlerinage international des familles, les 26 et 27 octobre à Rome, a été l’occasion pour le pape François d’approfondir le sens et la valeur du mariage chrétien.

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  • Combien de parents, jeunes ou moins jeunes, font le constat que la dynamique de leur couple a bien changé avec l’arrivée des enfants ! Les voilà pris dans le tourbillon du quotidien : des nuits entrecoupées par les tétées, ils sont passés aux nuits d’inquiétude, quand leurs ados sont en goguette. Et la journée, il faut faire le taxi pour les activités de leurs chères têtes blondes… Pas le temps de souffler. Et pour peu que la famille soit nombreuse…

     

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    Chirurgien-cancérologue et président de Familles de France, le professeur Henri Joyeux, 64 ans, se passionne depuis l’irruption du sida sur la planète pour l’éducation affective et sexuelle des jeunes à laquelle il consacre une journée par semaine en se rendant dans les écoles.

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  • « Pas facile d’être beaux-parents. On n’a plus le droit de rien dire… ». Le statut de beaux-parents n’est pas toujours des plus simples. Un proverbe vosgien dit « gendres et brus sont gens d’autrui ». Ils sont au départ, pour les beaux-parents, des étrangers, qu’on le veuille ou non. Et tous ne les regardent pas comme une « valeur ajoutée » mais bien parfois comme une « pièce rapportée ».

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  • Transcription d'une partie du topo "Aimer en vérité" du père Potez, sur le temps nécessaire au développement d’une amitié entre un garçon et une jeune fille.

     

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  • Résumé :

    La paternité est aujourd'hui souvent dite en crise. La littérature, le cinéma, les situations réelles attestent de ses fragilités. Toutefois, presque tous accordent au lien paternel une grande valeur.

    Xavier Lacroix élabore ici des propositions constructives pour donner sens à ce lien et répondre à la question : quels repères pour la paternité ?

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  • Dévaluée ou surévaluée, la virginité perd son sens. Bien plus qu’un moment de la vie ou l’apanage des consacrés, elle concerne chacun, y compris ceux qui l’ont perdue. Mais est-elle vraiment perdue ?

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  • Le Père Vincent de Mello, prêtre du diocèse de Paris, aumônier du patronage du Bon Conseil (VIIe), a créé l’École de l’amour, une formation à la vie affective et sexuelle à destination des collégiens et de leurs parents.

     

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  • Sans doute vous souvenez-vous d’avoir étudié, en littérature au lycée, la carte du pays de Tendre imaginée par Madeleine de Scudéry au XVIIe siècle. S’il ne s’agit pas d’un modèle de traité de l’amour conjugal chrétien, l’image est intéressante. Je vous propose de filer la métaphore, et de tracer, conjugalement, vos cartes du pays de Tendre. Pour cela, vous aurez besoin d’un papier et d’un crayon. Vous êtes prêts ?

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  • Peur de l’engagement, surtout s’il est définitif : voilà bien un trait saillant de notre époque, qui semble interdire nos aspirations à la fidélité. Que signifie cette peur, peut-on la négliger, ou y remédier ? Quelques bonnes questions pour démasquer les fausses réponses.

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  • Peut-on « essayer » de se fiancer si on a quelqu’un d’autre dans la tête, par peur de la pression sociale etc ?  

    Un tel mariage me paraît très risqué !

    Pour être heureux ensemble, c'est essentiel d'être amoureux l'un de l'autre, sans qu'une tierce personne occupe l'esprit de l'un ou l'autre ! Si l’on est amoureuse d'un autre homme, comment pourrait-on vivre toute sa vie avec son mari ?

    Et se marier à cause de la pression sociale, est-ce bien raisonnable, est-ce une motivation "juste" ? On se marie "librement", c'est-à-dire parce qu'on le choisit soi-même, profondément. Peut-être pourriez-vous suggérer voir quelqu'un qui vous aiderait à clarifier vos motivations et sentiments, non ?

       

     

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  • Mon copain n’est pas catho, alors comment pourrais-je lui « imposer » un mariage à l’église, c’est-à-dire un engagement devant un Dieu qu’il ne reconnait pas ?

    Tout d’abord, personne ne peut imposer quoi que ce soit à un autre, et en particulier lorsqu’il s’agit de mariage. Dans les piliers du mariage, la liberté de chacun a toute sa place !!! On ne se marie pas devant Dieu pour faire plaisir à son futur conjoint !

    Et ceci d’autant plus que ce dernier devra être d’accord sur les quatre piliers du mariage chrétien (la fidélité, l'indissolubilité, l'ouverture à la vie et la liberté) et s’engager devant tous à respecter la foi de son conjoint et à avoir le souci d'élever leurs enfants dans la foi chrétienne.

    Alors, à ces conditions oui, une personne non baptisée peut se marier à l'église. Il lui suffira de demander une dispense qui, actuellement, n’est qu’une formalité. Mais il faut également qu’elle le désire personnellement et qu’elle respecte ce sacrement.

    Selon le rituel romain de la célébration du mariage, le célébrant interroge les futurs époux. Chacun répond séparément !

    - « Vous allez vous engager l’un vers l’autre. Est-ce librement et sans contrainte ? »

    - Puis : « En vous engageant dans la voie du mariage, vous vous promettez amour mutuel et respect. Est-ce pour toute votre vie ? »

    - « Êtes-vous prêt à accueillir les enfants que Dieu vous donne, et à les éduquer selon l’évangile du Christ et dans la foi de l’Église ? »

    - « Êtes-vous disposés à assumer ensemble votre mission de chrétiens dans le monde et dans l’Église ? »

    Voilà, à mon avis de beaux sujets de discussions de belles soirées de débat dans l’amour et le respect. La réponse s’imposera d’elle-même !!!

    Mais s’il n’est pas prêt à envisager un mariage à l’église, que faire ?

    La première solution est avant tout de le laisser cheminer. Il y aurait beaucoup moins de vieilles filles cathos si elles avaient laissé des garçons intérioriser leur demande et chercher à mieux connaitre la foi qui anime leur fiancée ou amie.

    Il serait plus sage, dans le cadre de cette réflexion, de ne pas vous installer en concubinage, pour vous laisser libre de mettre un terme à cette relation si votre copain n’envisage absolument pas de mariage religieux. D’autre part, si vous vous installez avec votre copain, il sera peut-être moins motivé pour réfléchir à la question de la religion puisqu’il a déjà eu ce qu’il voulait : vivre avec vous…Et puis si les filles cathos ne sont pas fermement résolues à ne pas vivre de relations sexuelles avant le mariage, qu'est-ce qui les distingue des autres, à part quelques pratiques religieuses ?

     

    Oui mais s’il ne veut vraiment pas se marier à l’église et élever nos enfants dans la foi catholique, est-ce une raison suffisante pour le quitter ?

    Si votre ami n’est pas prêt à accepter ces conditions, alors un mariage à l’église ne peut avoir lieu. Il vous faudra alors prendre une décision difficile : soit quitter votre ami, soit renier votre foi, car la foi n’est pas un hobby ! On ne peut pas dire : « Nous sommes d’accord : tu peux aller faire du vélo tous les dimanches matins, (ou du ski, ou…) et moi, j’irai à la messe. »

    Vécue en vérité, elle pénètre profondément notre vie ; elle oriente nos projets, nos décisions, aide à discerner les choix que nous avons à faire.

    Le mariage “à l’église“ est un sacrement d’alliance entre les époux et avec Dieu. Il manifeste pour chacun des futurs époux, et devant tous, le désir vrai de vivre conformément à l’Evangile et selon le projet que Dieu a pour nous, du mieux possible et avec ce que nous sommes, aujourd’hui et pour notre salut.

    Je ne dis pas que c’est impossible si l’un des deux époux ne souhaite pas un mariage à l’église, mais ce sera difficile, au quotidien. Sans doute, auront-ils besoin de se redire sans cesse le respect qu’ils ont promis d’avoir des convictions de chacun. Dans les difficultés et les joies, ils ne pourront pas rendre grâce à Dieu ensemble ou s’appuyer sur Lui dans une prière et une demande communes.

    Se marier à l’église n’est pas anodin ; c’est un véritable engagement et c’est souvent lors d’une session de préparation au mariage que les fiancés prennent la mesure de la force, de la beauté de ce sacrement qu’ils demandent, mais aussi des responsabilités qu’ils acceptent, et ceci pour toute leur vie.

    Que dire de plus dans le cas cité, qui est finalement assez fréquent ?

    Le ou la futur (e) marié (e) qui a la foi a un vrai désir de recevoir la grâce du sacrement de mariage. C’est cohérent et très compréhensible ! Celle ou celui qui ne croit pas et qui accepte d’être uni (e) à l’église devant un dieu qu’il ne reconnaît pas va devoir s’engager de toutes façons à respecter les fondements du mariage chrétien : liberté, fidélité, indissolubilité et fécondité, et à prendre au sérieux le sacrement. L’éducation chrétienne des enfants reste, à mon avis, incontournable. Cela peut être tout à fait possible ! Lors de la session de préparation au mariage, les futurs conjoints en ont discuté ensemble et ont sans doute mis au point une sorte d’accord sur toutes ces questions.

    Ce qui sera plus difficile sera cette différence de foi, écueil quotidien ou fragilité supplémentaire au sein de leur couple.

    Pour celui qui croit, cela nécessitera un ancrage très profond et fidèle en Christ, l’aide d’autres chrétiens et peut-être d’une communauté de proximité pour tenir dans la foi.

    Mais aussi, pour le conjoint qui ne croit pas, un vrai désir de comprendre pourquoi cette foi est si importante pour l’autre. Ce peut être pour eux deux de très belles occasions de faire plaisir par des gestes d’accompagnement ou d’écoute, d’attention à l’autre, de manifester un bel amour.

    Si on ne veut choisir qu’un mari catho, cela restreint quand même beaucoup le choix, est-ce bien judicieux ?

    De nos jours on a l’impression que certaines filles ont davantage de critères pour choisir une robe que pour choisir la personne avec qui elles passeront leur vie : forme, tissu, couleur, longueur, etc. Cela vous parait-il logique ?

    Dans la vie, on avance selon deux "méthodes", que l'on pourrait comparer à celles d'un bateau qui part en mer.

    Soit le bateau ne se pose pas la question d'un cap, d'un objectif avant le départ, et il vogue au gré des courants, des vagues, du temps. Ce n'est pas lui qui choisit ce qui se passe, il se laisse porter par les évènements. Mais que se passera-t-il lorsqu'il arrivera dans des récifs ou se retrouvera au pôle Nord alors qu'il rêvait de soleil ?

    Soit il réfléchit avant, détermine un but, un objectif. Ensuite seulement il prend le large et avance vers son but, quels que soient le temps, les courants, les marées... Il est maître de sa vie, même s'il devra s'adapter aux circonstances.

    Dans la vie, c'est la même chose : je peux faire comme le premier bateau et choisir de me laisser faire par mes rencontres, ne rien décider, voir ce qui se passe... Soit faire comme le deuxième bateau : je décide de ce que je veux faire de ma vie en général et de ma vie affective en particulier. Et je renonce à tout ce qui ne va pas dans le bon sens.

    Alors, que voulez-vous ? Pour votre vie ? Pour votre vie amoureuse ? Si vos différences de cultures, de religion, de valeurs, etc. empêchent de construire une relation durable, que va-t-il se passer ? Tôt ou tard, une rupture...

    Il faut en effet vous dire que toute relation amoureuse qui, pour une raison ou une autre, n'est pas faite pour durer, fait toujours souffrir au moment où elle s'achève : un lien a été créé et même si on choisit d'y renoncer, on expérimente la perte de quelque chose qui a été important et heureux. Et plus le temps passe, plus les liens sont forts, et plus la séparation est douloureuse. Donc c'est illusoire de croire que vous pourriez ne pas souffrir si quelque chose de fort a été entamé.

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  • Mon copain et moi nous nous sommes séparés de nombreuses fois. Nous venons de nous remettre ensemble sans en parler à nos amis et envisageons de nous fiancer. Qu'en pensez-vous ?

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  • On voit bien les raisons économiques qui conduisent un certain nombre de couples à formuler ce genre de demande : pour un jeune ménage, il est très difficile de faire deux fêtes de famille avec tous les frais que cela engage à des échéances rapprochées. Grouper les deux célébrations permettrait de sérieuses économies et éviterait de faire revenir des parents éloignés. N'y a-t-il pas d'ailleurs un lien entre le sacrement qui concerne l'amour de votre fille et de votre gendre (leur mariage) et celui qui concerne le fruit de leur amour (le baptême de leur enfant)?

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  • Difficile de répondre, mais voilà quelques points de réflexion :

  • Est-il possible de dire "c'est l'homme de ma vie" (avec qui je veux me fiancer et me marier) sans l'avoir jamais vu ? Dans l'amour, il y a l'attirance du coeur, mais aussi l'attirance des corps. Vous avez vu une photo, c'est vrai. mais ce n'est pas suffisant. Attendez de l'avoir rencontré, de lui avoir parlé "en vrai", pour voir. Peut-être que sa manière d'être, de parler, de bouger, vous agacera ou vous plaira ! Ce contact "réel" est essentiel avant de prendre une décision.

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  • Marcel : Nous avons 89 et 90 ans et sommes mariés depuis plus de soixante-cinq ans. Et nous nous aimons toujours !
    Comment est-ce possible ? C’est beaucoup plus simple qu’on ne le croit ! Tout dépend de notre conception de l’amour. Pour nous, aimer, c’est être heureux de rendre l’autre heureux. C’en est presque égoïste ! Alors, nos propres désirs, qui pourraient venir contrecarrer le bonheur de l’autre, ne paraissent plus prioritaires. Si vous misez tout sur le bonheur de l’autre, il n’y a pas de raison que cela ne dure pas !

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  • Cette question a le mérite de la franchise !

    C'est vrai à la fin, au nom de quoi les jeunes filles cathos devraient-elles s'interdire des décolletés plongeants ? Dieu a bien créé l'homme pour plaire à la femme et vice-versa... Non ?

    Ceci dit, plaire ne veut pas dire se permettre n'importe quoi.

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  • On voit des couples qui, après 30, 40, 50, 60 ans de mariage, sont toujours heureux ensemble. Comment ont-ils fait ? Est-ce une question de chance ?

     Il n’y a évidemment pas de recettes-miracles pour réussir son couple (sinon, ça se saurait !) Mais on retrouve cependant des caractéristiques communes chez tous les couples heureux. En voici 7.

     

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