On se dit “zut...” !
Sans rire, c’est embêtant.
Il vaut mieux s’éloigner pour qu’il discerne son appel sans pression : ni fuite (parfois, se précipiter au séminaire évite la question de la femme) ou à l’inverse, se précipiter dans les bras de la femme pour éviter la question de la vocation !
Les jeunes qui sortent du séminaire pour une femme (et non pas parce qu’ils ont discerné qu’ils n’étaient pas appelés à la prêtrise) le vivent souvent mal, quelques années plus tard: la femme devient celle qui a fait tomber (même si ce n’est pas vrai !)
Il me semble donc que si la question du séminaire se pose réellement, il vaut mieux ne pas insister...