Ces doutes sont grands ou petits, angoissants ou non, fréquents ou rares, etc.
Sont-ils le signe que j’aime moins l’autre ? Sont-ils le signe que je me suis trompé(e) ?
Comment voir clair ?
Tout d’abord, pas de panique, elle est mauvaise conseillère.
1° Essayons de faire un tri entre les doutes et les angoisses liées à l’approche de l’engagement et ceux liés à des questions de fond, sur lesquelles il est nécessaire de s’attarder plus longuement.
Lire la suite : Comment gérer le doute pendant les fiançailles ?
La question n’est pas de savoir si le jour de mon mariage, je suis sûr(e) que je serai fidèle toute ma vie, mais plutôt de me demander si je suis décidé(e) à ce que l’homme ou la femme de ma vie soit celui ou celle que j’ai choisi.
Il y a, bien sûr, la voie du célibat consacré pour le royaume ! Mais pour celui ou celle qui n'entend pas cet appel particulier et qui désire s'engager dans le mariage selon la conception chrétienne (liberté, fidélité, accueil de la vie), le parcours est exigeant et parfois difficile. Comment en effet vivre la confiance, la vraie liberté des enfants de Dieu et le don de soi dans la vie de tous les jours ? Dans son remarquable petit livre, Dieu ne m'a pas oublié, Dominique de Monléon apporte un témoignage très fin, profond et concret à la fois. Il y a plusieurs façons pratiques de vivre et d'exprimer cette foi, cette espérance et cette charité selon la spiritualité qui nourrit chacun. Il y a plusieurs manières chrétiennes d'être célibataire.
Lire la suite : Y a-t-il une manière chrétienne d’ “ être célibataire ” ?
On voit des couples qui, après 30, 40, 50, 60 ans de mariage, sont toujours heureux ensemble. Comment ont-ils fait ? Est-ce une question de chance ?
Il n’y a évidemment pas de recettes-miracles pour réussir son couple (sinon, ça se saurait !) Mais on retrouve cependant des caractéristiques communes chez tous les couples heureux. En voici 7.
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